Ce modèle économique est aussi pensé pour sauvegarder la forêt primaire tropicale, les écosystèmes et la biodiversité.
Avec le microcrédit, les cultivateurs sont accompagnés et formés à la culture de café en biodynamie et agroforesterie : des méthodes de culture durables qui permettent reforestation, réhabilitation des écosystèmes, préservation de la biodiversité et protection des terres face aux aléas du changement climatique.
Les terres cultivables sont moins sous pression et donc plus pérennes et la polyculture contribue à l’autosuffisance alimentaire. Enfin, les familles de cultivateurs retrouvent un ancrage dans la ruralité et deviennent les garde-forestiers naturels de la forêt tropicale.