Notre modèle économique à impact : one cup one cent®

Un modèle économique unique :
1 tasse bue = 1 centime d’euro reversé à des projets d'inclusion et de reforestation.
Soit un engagement à reverser au moins 10% des bénéfices de l'entreprise chaque année au programme Let's Catch Carbon.
Un café comme levier pour agir sur l'enjeu climat

Ensemble, nous soutenons une économie qui fait vivre 500 millions de personnes dans le monde, et qui adresse directement le problème de la déforestation et de la perte de la biodiversité dans les zones tropicales humides.
Notre objectif :
- des cultures rendues durables dans les plantations,
- des solutions agricoles aux prévisions de disparition des caféiers en 2080,
- la réhabilitation des écosystèmes,
- une réponse à la famine et aux migrations climatiques prévues dans les zones productrices par le GIEC,
- des revenus décents et pérennes pour les cultivateurs de café,
- l'inclusion des femmes et la formation des jeunes,
- un nouveau modèle de société autour des enjeux Climat.
Nos deux projets pilotes
Jinotega au Nicaragua

Dans la région rurale de Jinotega au Nicaragua, nous allouons des micro-crédits de 500 dollars d’une durée de 9 mois à un taux de 4% à des femmes célibataires de la coopérative Aldéa Global, qui ont du mal à subvenir aux besoins de leur famille et à développer leur ferme.
Les microcrédits financent de jeunes pieds de caféiers pour renouveler la plantation, la formation à des méthodes de culture plus durables et plus rentables ainsi que le financement de la main d'oeuvre.
Nos partenaires : des ONG et des associations laïques soumises à des chartes anti-corruption (EFICO Foundation, King Baudouin, Aldéa Global)

Terra Noun au Cameroun

Nous travaillons main dans la main avec la coopérative Terra Noun dans un ambitieux projet de transformation de la filière café au Cameroun.
Nous accompagnons la réintroduction des jardins de café dans la Région du Noun, située au coeur du 1er poumon vert de la planète (bassin du Congo) pour encourager la culture d'un café de qualité, la reforestation, la préservation des écosytèmes et l'élévation du niveau de vie des communautés locales.
Nous finançons l'achat d'équipement, la formation des paysans aux méthodes agronomiques biologiques, la création d'une ferme-école pensée pour la formation professionnelle des jeunes et la recherche agricole avec les scientifiques du CIRAD.
En savoir plus

Pour aller plus loin :
Quels problèmes voulons-nous résoudre ?
Le café est le premier produit alimentaire échangé dans le monde et la demande ne cesse d’augmenter. Pourtant, les petits producteurs qui le cultivent dans 80 pays de zone intertropicale vivent de plus en plus sous le seuil de pauvreté. En cause, la volatilité des cours de bourse et la multiplication des intermédiaires.
A cela s’ajoutent les aléas du changement climatique, avec l’apparition de maladies tuant les plants de caféiers et mettant les cultivateurs en situation de grande précarité. A ce rythme, les caféiers sont voués à disparaître en 2080.

Notre engagement : transformer le modèle de culture du café
Nous accompagnons les cultivateurs dans le passage d'une culture intensive, gourmande en ressources et en déforestation, à une culture durable sur le principe du jardin de café.
Le jardin de café est un champ où le caféier est produit en association avec des arbres fruitiers et des produits aromatiques qui nourrissent les familles des paysans.
Il génère des revenus complémentaires, permet de reforester, crée une zone forestière tampon qui protège naturellement la forêt, et restaure tout un écosystème naturel qui protège la biodoversité.

Nos moyens d'action : microcrédit, préfinancement et mécénat de compétences
Le principe : préfinancement des récoltes de café durable et accompagnement des cultivateurs via le microcrédit.
Les actions menées : formation des cultivateurs à la fabrication d'intrants et d'engrais biologiques, création de programmes de formation professionnelle des jeunes, mise en place de partenariats avec des écoles d'agronomie et le CIRAD pour la recherche.

Les premiers résultats :
C'est à Jinotega au nord du Nicaragua qu'on été financés les 25 premiers projets au bénéfice des femmes fermières.
Elles témoignent :
- « Avec le microcrédit, je peux mieux entretenir mon café et obtenir plus de revenus pour assurer le bien-être de ma famille. » Maria Cristina
- "Si je ne m'occupe pas de ma plantation qui a besoin d'être nourrie, je n'aurai pas de revenus à la fin de la saison des récoltes. Je me sens bien, je n'ai pas à m'inquiéter parce qu'avec le microcrédit, je peux garantir la production de ma plantation de café". Maura Griselda Alaniz Zeledón
- "Depuis que j'ai pu, grâce au microcrédit, donner de meilleures conditions à ma plantation, j'ai obtenu une meilleure récolte et plus de revenus pour ma famille". Norma Francisca Mercado Hernández

- "Le microcrédit a été d'une grande aide pour moi et ma famille. Il m'a donné l'opportunité d'améliorer la qualité de ma plantation et d'augmenter le nombre d'arbres aussi. A l'avenir, j'espère pouvoir produire davantage pour améliorer la qualité de vie de ma famille". Asuzena del Socorro Hernández Reyes
- "Avec le microcrédit, je peux garantir de bonnes récoltes et cela me donne l'opportunité d'atteindre mon objectif d'augmenter la surface de ma plantation de café". Rosa Marli Alaniz Zeledón
- “Le microcrédit me donne l'opportunité d'avoir plus de revenus et je me sens motivée pour augmenter ma zone de production de café”. Brenda de Jesús Samayoavit

- "Maintenant que je peux mieux prendre soin de mes plantations de café avec l'investissement du microcrédit, mes plantations sont meilleures et je pense que si je plante plus de café, j'aurai plus de revenus à l'avenir et les conditions de vie de ma famille s'amélioreront aussi." Ericka del Carmen Gómez Reyes
- “Le microcrédit me permet de renflouer ma trésorerie en préparation de la grande saison de café à venir et à compléter mes revenus futurs de cette période marquée par une augmentation significative des ventes pour l’exploitation”. Carmen Hernández Morales


Au Cameroun :
Les premiers résultats :
- 5 à 6 tonnes de café de spécialité vendues par an, entre 75 cents et 2 euros supplémentaires par kilo par rapport à un café classique
- 137 700 arbres replantés depuis le début du projet
- Des centaines d’hectares reboisés
À chaque achat, vous faites un geste juste ici et là-bas, au coeur des plantations.
Retrouvez tous nos cafés ici