Marc Gusils, alors actionnaire majoritaire, voit Chacun Son Café comme une réponse à ce qui s’impose de plus en plus à nous : une crise climatique sans précédent, qui demande à chacun de prendre ses responsabilités pour les générations futures. 

Il théorise alors le modèle économique One Cup One Cent qui repose sur le principe d'éthique relationnelle et sur une croyance forte : le problème climatique transcende les frontières et les clivages Nord-Sud.

Nous devons travaillons en collaboration avec ceux qui seront les premiers touchés par les aléas climatiques et qui sont les premiers protecteurs des ressources naturelles terrestres : les populations des pays de la ceinture tropicale.

One Cup One Cent ambitionne une redistribution de la valeur économique au profit de la lutte contre le réchauffement climatique.

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