Après s'être attaqué au problème écologique des emballages uniques de café et investi les entreprises du point de vue d'un café artisanal en opposition à un procédé industriel, Chacun Son Café décide de prendre le problème de la pauvreté et de la destruction des ressources naturelles dans les pays producteurs.

Comment ça marche ? Un modèle de redistribution de la valeur, majoritairement captée par les torréfacteurs et rendant la chaîne de valeur du café très inégalitaire : One Cup One Cent. 

Dans la région rurale de Jinotega au Nicaragua, Chacun Son Café alloue des micro-crédits de 500 dollars d’une durée de 9 mois à un taux de 4% à des femmes célibataires de la coopérative Aldéa Global, qui ont du mal à subvenir aux besoins de leur famille et à développer leur ferme. 

Les microcrédits financent de jeunes pieds de caféiers pour renouveler la plantation, la formation à des méthodes de culture plus durables et plus rentables ainsi que le financement de la main d'oeuvre. 

Nos partenaires : des ONG et des associations laïques soumises à des chartes anti-corruption (EFICO Foundation, King Baudouin, Aldéa Global)

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